Après avoir réfléchi sur ce que les vikings ont dû mettre en place à l'époque où ils sévissaient à Nantes depuis les îles de Petite et Grande Biesse, nous cherchons comment construire un pont solide. Dans le cadre d’un projet européen FIBONACCI, des ingénieurs de l'école de Mines de Nantes (Lotfi et Gabriel) nous accompagnent pour nous aider à imaginer et réfléchir et améliorer nos propositions jusqu'à élaborer quelque chose de solide selon la méthode d'investigation de la Main à la Pâte...
Vendredi dernier, nous avons imaginé et dessiné un pont puis nous l'avons dessiné de profil pour pouvoir montrer comment il tenait.
Pour l'étape de ce vendredi, il fallait chercher comment construire un pont en papier (à l'aide de 4 feuilles maximum) capable de soutenir une charge de 200
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Chaque groupe, très motivé, s'est mis en route et différentes propositions ont vu le jour.
Certains enfants ont parlé de tester les berges (deux pains de polystyrène) ou voulaient les tenir puisqu'elles sont fixes dans la réalité (c'est le cas du pont avec les lampadaires roses).
Certains ont tellement soutenu à l'aide de piliers que la rivière en était comblée ou presque.
D'autres ont mis plusieurs épaisseurs de papier et la quantité de scotch a rigidifié le tout...
Un groupe a voulu préserver la flexibilité du pont par des piliers sur ressort afin de permettre au pont de remonter lorsque la charge l'a déformé...
La possibilité de soutenir le pont par le dessus a été envisagée et les différents ponts de la ville ont insufflé de bonnes idées (c'est le cas de ce pont dont le grand pilier central devait porter des câbles en scotch et de ce pont voûté orange et jaune "le pont de l'esprit d'équipe").
A vendredi pour la suite ...
Blandine
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